Premier roman sur l'enfance enfuie et l'amertume qui remplace les rires, Les guerres précieuses de Perrine Tripier est porté par une poésie rare. (...)

Premier roman sur l'enfance enfuie et l'amertume qui remplace les rires, Les guerres précieuses de Perrine Tripier est porté par une poésie rare. (...)
Joydeep Roy-Bhattacharya signe un roman rempli d'humanité sans prendre parti, lâchant des héros dans un cirque désertique. Plane au-dessus d'eux l'ombre d'une Antigone à Kandahar. (...)
Rachel Cusk examine la dépendance psychologique, les traumatismes d'une femme qui tâche vainement de s'auto-psychanalyser. (...)
Récit glaçant, Le mage du Kremlin de Giuliano da Empoli lève le voile sur la mécanique de pensée poutinienne, sur les coulisses du pouvoir, tout en soignant ses atmosphères. (...)
L'ambre romaine, le tourbillon de la ville et son soleil d'or se parent ici d'un vernis nostalgique. Gianfranco Calligarich et ses personnages errent, un dernier été en ville. (...)
De la beauté de Zadie Smith, à la fois campus novel et roman familial, est un livre protéiforme, complexe et ample qui s'intéresse à l'identité et à sa construction. Brillant ! (...)
Récit de Milena Busquets qui court après ses souvenirs, Gema est habité d'un souffle joyeux et pétillant, tout espagnol dans sa légèreté paradoxale. (...)
Grinçant, émaillé d'un humour noir parfois sanglant et souvent mordant, Antarctique d'Olivier Bleys est une sorte de fable macabre et dénuée de morale sur la condition humaine. (...)
Pluriel, oxymorique, Homéomorphe est un premier roman aussi juste que touchant, aussi poétique que sensible. Yann Brunel transforme les équations en lumière, la douleur miséreuse en pépites d'or. (...)
Chevreuse brouille les frontières entre présent et passé, la mémoire vacillante de Bosmans, ou bien est-celle de Patrick Modiano, se perdant dans des détails insignifiants, entre rêve et réalité. (...)
Avec Mon maître et mon vainqueur, François-Henri Désérable rend un hommage parodique au trio amoureux, à la passion adultérine mais aussi et surtout à la poésie. (...)
La quatrième de couverture le dit, Carole Martinez est une excellente conteuse. Alors elle conte. Les roses fauves, c’est une malédiction qui se répète, un cycle sans fin, un éternel jeu de miroirs entre présent et passé. Le dénominateur commun qui lie les époques et les personnages, les aïeuls et les descendants, ce sont ces …