2084 ou une dystopie comme on les aime, tortueuse et torturée, mettant en scène des personnages tentant avec timidité de se rebeller face au système. Vu et revu me diriez vous. Certes. Le paramètre qui change ici est le suivant : la société est indissociable de la religion. Idée pour le moins osée de nos jours et bien mise en œuvre même si des longueurs restent à noter. L’innocence du héros reste touchante même si à certains moments il nous insupporte — comment aurions-nous réagi à sa place ?